Pour les brésiliens, avoir ” la ginga “, c’est savoir bouger son corps- à travers le foot , la danse, la transe, mais c’est avant tout être capable de se débrouiller dans la vie, esquivant les problèmes quotidiens.
En observant les oeuvres de Joào Monteiro, sculpteur brésilien qui a choisi de vivre à Toulouse, nous essayerons de comprendre cette gestuelle si particulière.